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CLUB DANCING

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Disco – Les artistes phares

Le disco c’est aussi le désir de s’affranchir de tous les codes musicaux, sociétaux. Preuve en est, les Village People qui explose en 1978 et ce grâce à deux français, Jacques Morati et Henri Belolo. Les cinq américains deviennent des icônes du mouvement gay, parodiant les stéréotypes homosexuels de l’époque. 
Pendant que les suédois d’ABBA séduisent avec « Dancing Queen », c’est l’Italien Giorgio Moroder et le français Jean-Marc Ceronne qui popularise le genre en France.
 
Les artistes phares qui ont marqués le Disco
 
Le disco touche alors tous les domaines, même cinématographique. 
Succès planétaire pour la bande des Bee Gees puisque la musique originale du film de John Badham, se vend à une vingtaine de millions d’exemplaires.
Un an plus tard, le duo Olivia Newton Jones et John Travolta électrisent les foules dans la comédie musicale « Grease », de Randal Kleiser. A coup de tubes tels que « you’re the one that I want », le disco devient une valeur sure du cinéma. Une popularité toujours de mise près de quarante ans après, comme en témoigne le succès du film « Disco » (2008), de Fabien Onteniente avec Franc Dubosc.

L’ Histoire du Disco …

Une musique novatrice

Au milieu des années 1970, de nombreux producteurs et musiciens européens commencent à s’inspirer de la soul et des musiques électroniques émergentes. La musique funk et soul s’épure et s’accompagne de nouvelles sonorités, composées par le synthé et les consoles.
Face au rock et la mouvance punk, le disco puise ses racines dans la musique noire. Mais tout en en reprenant l’énergie, elle la popularise grâce à des rythmes binaires, jamais entendus auparavant.

Retour sur un rythme qui n’en finit pas de faire danser.

Le disco c’est aussi le désir de s’affranchir de tous les codes musicaux, sociétaux. Preuve en est, les Village People qui explose en 1978 et ce grâce à deux français, Jacques Morati et Henri Belolo. Les cinq américains deviennent des icônes du mouvement gay, parodiant les stéréotypes homosexuels de l’époque. 
Pendant que les suédois d’ABBA séduisent avec « Dancing Queen », c’est l’Italien Giorgio Moroder et le français Jean-Marc Ceronne qui popularise le genre en France.
En effet, à compter de l’année 1978, le disco devient incontournable dans l’hexagone. La légèreté que prône le disco est largement présente dans la variété française, profitant de la naissance des radios libres, sous l’impulsion de François Mitterrand en 1981.

Lancée par Jean-Marc Cerrone

Son album « Love in C Minor », de nombreux artistes français surfent alors sur le phénomène tels que Patrick Fernandez qui explose avec « Born to be alive », tandis que Claude François et ses Clodettes séduisent les groupies avec des chorégraphies, déjà en avance sur leurs temps.

En 1977, les adolescents découvrent une Sheïla en micro shorts ou en combinaison argentée avec son morceau « Love me baby ». En collaboration avec B. Devotion, suivront quelques tubes parmi lesquels « Singin’ in the rain » et le célèbre « Spacer » qui lui vaut de se classer dans les charts américains.

Boney M. : retour sur la création d’un des plus grands groupes disco

Retour sur la naissance de Boney M., l’un des plus grands groupes disco au monde avec plus d’une dizaine de tubes légendaires à son actif. Un succès d’autant plus incroyable lorsqu’on connaît l’histoire de sa création.

Boney M. : l’éclosion du groupe

Tout commence à la fin de l’année 1974 sur l’impulsion de Frank Farian, un chanteur et compositeur allemand, employé par le label Hansa Record. En studio, avec l’aide de musiciens, il enregistre le titre « Baby Do You Wanna Bump ? » sur lequel il pose en réalité lui-même toutes les voix. Le succès important remporté par le morceau aux Pays-Bas et en Belgique change toute l’histoire et précipite la création d’un nouveau groupe.

l’un des plus grands groupes disco au monde

Boney M. : un groupe créé de toutes pièces

Pour assurer une promotion rapide à la télévision et dans les boîtes de nuit, Frank Farian engage des choristes venues des Antilles, dont Maizie Williams de l’île de Montserrat, pour incarner ce groupe appelé Boney M. Après quelques renouvellements dans les rangs du groupe en 1975, Boney M. tel qu’il entrera dans la légende est composé en 1976, en plus de Maizie Williams, de Marcia Barrett et Liz Mitchell, chanteuses jamaïcaines, et du chanteur-danseur Bobby Farrell, natif de l’île d’Aruba. En réalité, Frank Farian interprète toutes les voix masculines, qu’elles soient graves ou aiguës, modifiées électroniquement et préenregistrées. Liz Mitchell est, de son côté, la seule véritable chanteuse de la formation.

Boney M. : des tubes en cascade

Derrière les 4 membres de Boney M. se cache ainsi – et surtout – le travail phénoménal de Farian, qui fera le succès international du groupe. Des mélodies parfaitement dans l’air du temps et des instrumentalisations travaillées s’ajoutent au magnétisme des 4 membres. Entre 1976 et 1978, Boney M. inonde le monde avec ses tubes « Daddy Cool » (1976), «Ma Baker» (1977) ou encore la reprise du «Sunny» de Bobby Hebb (1977). En 1978, avec la reprise « Rivers of Babylon » puis « Rasputin », Boney M. entre définitivement au Panthéon du disco, seulement deux ans après sa création.

West Coast Swing

Le West Coast Swing (WCS) est une danse à deux de style swing1. Elle est issue du Lindy Hop (1930) dont les mouvements ont été adoucis tout au long du XXème siècle. Elle est caractérisée par des mouvements très fluides et élastiques des partenaires, à la manière de ce que l’on peut voir en patinage artistique (danse sur glace). Moderne dans son approche, le West Coast Swing est dansé à la fois en social et en compétition (en improvisation ou sur une chorégraphie), de par son essence swing, il laisse une grande place à à l’humour et au fun. Fait assez original en danse, à haut niveau les compétitions déclenchent quasi systématiquement la liesse et les fous-rires dans le public et chez les autres compétiteurs. Enfin, via les influences des autres rythmes & danses (Latines, Hip-Hop) la versatilité de cette danse est unique et lui apportent une richesse particulière.

Le West Coast Swing est revenu à la mode en France au début des années 2000

Le West Coast swing se danse essentiellement sur des musiques de 70 à 130 BPM. Initialement dansé sur du blues, cette danse a toujours su évoluer avec les rythmes des époques traversées : Jazz, rock’n’roll, Country, Rock, Disco, Funk. RnB, Pop, Dance, Kizomba et du Zouk brésilien. Historiquement et longtemps cantonné à la Californie (côte ouest) puis aux États-Unis d’Amérique, le WCS s’est rapidement développé à l’échelle mondiale à partir des années 2005 avec l’intégration des rythmes musicaux actuels.

Le West Coast Swing est une danse de couple très répandue aux États-Unis depuis les années 50.

Elle est arrivée en France il y a environ 15 ans mais connaît un essor particulier depuis ces dernières années, essentiellement à Paris, Lyon, Montpellier et Toulouse. A Nantes, plusieurs écoles l’enseignent, des soirées dansantes et des stages y sont organisés, avec des stars nationales et internationales.

On en parle parfois comme d’un mélange de salsa et de rock, mais le West Coast Swing est une danse à part entière. Issue d’une culture swing, elle a rapidement évolué et se danse sur la plupart des musiques modernes que l’on peut entendre à la radio (R’nB, pop, electro, …), mais aussi sur du blues!

Ce qui caractérise également le West Coast Swing, c’est cette impression d’élasticité entre les deux partenaires, que ce soit sur des danses lentes ou rapides. Ajoutée à une réelle liberté d’interprétation, les sensations ne peuvent être qu’excellentes !

Petite histoire de la valse

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Les origines de la valse : entre France et Autriche

Comme pour le tango, il existe une histoire française de cette danse, puisque la valse, bien que souvent qualifiée de viennoise, connut un essor particulier en France.

Certains la font remonter à la volta en Provence, ce qui reste encore à vérifier, d’autres insistent sur son origine remontant aux danses paysannes allemandes comme les Ländler.

Associée au début à une danse paysanne peu distinguée et lourde, la valse gardera dans ses premières années un caractère parfois scandaleux, puisqu’elle est (paradoxalement pour nous aujourd’hui) beaucoup moins formelle que les danses collectives comme le menuet, pratiquées largement avant la Révolution dans toutes les cours sous influence française qui imitaient Versailles.

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La danse qui a enlacé le succès

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L’essor de la civilisation de la valse

C’est à la fin du XVIIIème siècle que commence l’avènement de la valse comme danse de salon incontournable.

Raffinée techniquement, améliorée chorégraphiquement, elle poursuit en parallèle tout au long du XIXème siècle son ascension musicale jusqu’à devenir l’emblème d’une civilisation européenne réputée raffinée et élégante.

Les temps faibles sont de plus en plus marqués dans la partition, de manière à dresser un contrepoint efficace au premier temps fort, alors qu’au début, on avait tendance à marquer les 3 temps du rythme ternaire de la même manière.

Surtout, les partitions deviennent de plus en plus complexes, passant d’une orchestration en petite formation à des orchestrations symphoniques, qui donnent aux compositeurs l’occasion d’illustrer, lors de longs poèmes musicaux, les sentiments, les paysages ou les expériences humaines qui rythment la vie des Européens à la fin du XIXème siècle, comme dans Le Beau Danube Bleu.

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Et la valse aujourd’hui ?

Musicalement, les groupes contemporains continuent de rendre hommage à son rythme, que ce soit dans le cadre régionaliste des Fest Noz, des danses celtiques irlandaises, ou dans le cadre de groupes plus rock ou variété, type Soldat Louis, Caravan Palace, etc.

Les auteurs de musique de films ne cessent d’avoir recours à sa musicalité expressive pour dire les sentiments intérieurs des acteurs à l’écran, que ce soit pour des films historiques aussi célèbres que La Gloire de mon Père (Vladimir Cosma), Le Guépard (Nino Rota) ou, bien évidemment, la valse d’Amélie Poulain

Mais surtout, la valse continue de fasciner des générations entières de jeunes mariés : synonyme d’innocence, de fraîcheur, de légèreté revendiquée, mais aussi de puissance des sentiments intérieurs, la musique de valse apparaît au début du XXIème siècle comme l’éloge éternel de l’amour qui mène au mariage. Harmonieuse, élégante, évocatrice, la musique de valse n’a pas fini de nous offrir une cure de jouvence.

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La Bachata – la plus sensuelle

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La bachata est un rythme dansant originaire de République dominicaine, plein de folklore. On peut le considérer comme un mélange de boléro (surtout, le boléro rythmique) avec d’autres influences musicales d’origine africaine et avec d’autres styles comme le son, le merengue, le cha-cha-cha et le tango.

La bachata est jouée par plusieurs guitares (deux ou trois), accompagnées de percussions (bongo, maracas, güira) et une basse. On parle aussi de bolero campesino, bolero antillano ou cancion del amargue, une musique associée pendant longtemps aux couches sociales les plus défavorisées de Saint-Domingue1.

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La bachata est un rythme dansant originaire de République dominicaine

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Au tout début, la bachata était dédaignée car c’était une musique qui provenait des classes sociales basses.

À ses débuts, elle était très peu diffusée en radio. Mais l’intérêt a surgi à partir des années 1980, avec l’expansion des moyens massifs de communication, le développement du tourisme, et l’effort de quelques compositeurs qui ont remarqué qu’avait surgi un nouveau genre. Les auteurs comme Juan Luis Guerra et Víctor Víctor dans les années 1990, et de Luis Días depuis 1980, ont apporté une vision plus moderne et urbaine.

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L’expansion du tourisme en République dominicaine dans les années 1980 a offert à la bachata une popularité internationale, qui est alors devenue un symbole de la République dominicaine.

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Et si je (re)prenais des cours de danse

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Une envie de danser vous prend, mais vous n’osez pas vous lancer, car vous avez peur d’être ridicule ?Chassez vite cette mauvaise pensée, écoutez votre envie et lancez-vous !Entre le classique, le modern jazz, le tango à deux, la danse orientale ou africaine, vous aurez l’embarras du choix.N’oubliez pas non plus de suivre nos conseils pour apprendre à danser

​Pourquoi il n’est jamais trop tard pour commencer la danse

Danse pour tous les âges
« On peut se mettre à la danse à tout âge, car ce n’est pas une activité traumatisante pour le corps », explique Cyrille Vaillant, kinésithérapeute.Il n’y a pas d’impact violent, les gestes sont doux et mesurés, il y a un respect des articulations…

> L’âge n’entre pas en ligne de compte lorsque vous décidez de vous lancer, que vous en ayez fait auparavant ou non. L’important est de choisir un cours adapté à son niveau, débutant, intermédiaire, moyen, confirmé.

> Attention tout de même
Toutefois, certains mouvements peuvent fragiliser les genoux, les chevilles et le dos. Tout dépend du type de danse et de la chorégraphie. Si vous souffrez déjà de problèmes dans ces parties du corps, parlez-en à un médecin avant de vous inscrire, puis avertissez votre professeur.

La danse, ça fait travailler les muscles !

Toute la base de ce travail repose sur la recherche de l’équilibre, et donc sur la bonne utilisation du muscle et de l’énergie. Puisque cette quête est très importante, on fait beaucoup travailler la ceinture abdominale et les fessiers.On différencie ce travail qui est statique, avec celui des membres supérieurs et inférieurs qui est dynamique. Comme ils supportent le poids du corps, les cuisses et les mollets sont très sollicités.Les bras et le haut du corps sont eux dans un travail de décharge.
La danse permet de faire travailler tout le corps. Celui-ci devient plus tonique au fur et à mesure des séances. Les abdos deviennent plus fermes, ce qui procure une meilleure stabilité en général. Le travail sur la gestuelle donne à nos mouvements, même les plus banals, une allure différente. Le corps se muscle et s’assouplit de façon progressive, ce qui donne quelque chose de plus naturel qu’avec d’autres sports. De plus, vous apprenez à mieux coordonner les mouvements des bras et des jambes

Danse

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Les danses de salon traditionnelles : tango, boléro, valse…

Vous avez beaucoup regardé Dirty Dancing et cherchez un activité à faire en couple ? Entraînez votre mari ou un ami dans un cours de danse de salon ! Longtemps jugées ringardes, le public retrouve aujourd’hui un engouement pour ces danses très sensuelles, mais aussi très physiques.
> Le principe
Contrairement aux apparences, danser en couple est très difficile. Il faut coordonner ses pas avec ceux de son partenaire. L’homme et la femme ont des rôles distincts et des attitudes différentes selon les danses, mais le premier se doit de toujours guider sa partenaire.Selon les musiques, il y a des pas de base à mémoriser qui sont calés sur le rythme. Pour la valse par exemple, le pas de base dure trois temps.
> Bénéfices
On se dépense beaucoup dans les danses de salon. Plus on s’entraîne, plus les chorégraphies deviennent compliquées et acrobatiques et certaines, comme le rock ou la samba, demandent pas mal d’endurance.Mais surtout, elles permettent d’instaurer une vraie complicité avec son partenaire.
> L’équipement
Pour la tenue, les chaussures de ville sont tolérées, mais on s’aperçoit bien vite que de vraies chaussures de danse offrent un bien meilleur confort.

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La New Wave, tourbillon musical des années 1980

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De Blondie à The Cure en passant par Frankie Goes to Hollywood, la new wave englobe beaucoup d’artistes et de styles différents. Avant de plonger dans notre prochain week-end thématique, essayons d’y voir clair dans ce courant musical.

La new wave en quelques mots

La période new wave s’étale de la fin des années 70 au milieu des années 80. Mais la new wave englobe plusieurs styles : certaines musiques tirent vers le disco, comme celle de Blondie. On parle plutôt de new wave gothique pour The Cure, ou de new wave punk pour Gang of Four.

Punk, synthétiseur et boîte à rythme

Le terme new wave est apparu dans la presse au milieu des années 70, juste après l’explosion du punk. D’ailleurs, entre 1976 et 1977, les termes punk et new wave sont parfaitement interchangeables. Mais ce qui différencie les deux courants, c’est le synthétiseur et la boîte à rythme. Dès 1978, ces instruments deviennent accessibles aux jeunes musiciens qui avaient écouté du punk, mais aussi David Bowie ou Kraftwerk.

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La New Wave connaîtra un immense succès à travers le monde

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La grande famille de la new wave

La new wave est un courant musical foncièrement anglais et underground, avec des formations comme New Order ou Siouxsie and the Banshees. Le genre va ensuite exploser avec Depeche Mode, Duran Duran ou The Cure. Citons encore Tears For Fears qui, lui, est le groupe de new wave romantique par excellence.

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Le Reggae : Origines Et Histoire De Ce Genre Musical

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Qui dit reggae pense dreadlocks, culte rasta et non-violence. Mais cette musique, née en Jamaïque dans les années 1960, va bien au-delà de ces clichés. Fruit d’un vaste métissage, la plus populaire des musiques jamaïcaines continue d’évoluer et d’étendre son influence de par le monde.

Des origines métissées

Le reggae apparu en Jamaïque à la fin des années 1960 est le résultat de nombreuses rencontres et de métissages.

Il dérive de musiques jamaïcaines comme le Ska et le Rocksteady mais plonge ses racines dans les musiques traditionnelles caribéennes telles que le Mento et le Calypso et les musiques africaines importées en Jamaïque par les esclaves.

Ce style musical a aussi été influencé par la musique américaine de type Rythm’n blues, Jazz et Soul music, alors très en vogue sur l’île.

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Une étymologie incertaine

L’étymologie du mot « reggae » est incertaine. Il dériverait de l’anglais regular people (« gens du peuple ») ou de raggedy (« déguenillé »). D’autres sources indiquent qu’il vient de l’argot jamaïcain streggae (« femme facile »).

Ce qui est sûr, c’est que le terme de reggae a été utilisé pour la première fois dans la chanson Do the reggae écrite en 1968 par Toots, leader du groupe The Maytals. La petite vidéo ci-dessous vous permettra de découvrir cette chanson considérée comme l’acte de naissance de ce genre musical.

Moyen d’expression de la population noire et des ghettos, ce genre musical était dès son origine porteur d’un message politique et religieux : le rastafarisme.

Il s’agit d’un courant mystique prêchant le retour en Afrique de tous les descendants d’esclaves disséminés sur le continent américain et situant la terre promise des Noirs africains en Éthiopie.

Un succès international

Si le reggae a fait le tour du monde, c’est bien sûr grâce à Bob Marley qui a été et demeure son principal ambassadeur bien au-delà des frontières de la Jamaïque.

Même après avoir connu un succès fulgurant, à partir de 1973, Bob Marley continua à prôner la philosophie rasta dans ses chansons, affirmant : « La musique est la religion et la religion la musique. Le reggae est une communication, la communication la plus douce ».

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Une influence encore vivace

 

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En 1974, Eric Clapton se classa au sommet des hit-parades avec une reprise de « I Shot the Sheriff ». A la même période, Keith Richards guitariste des Rolling Stones affiche ouvertement sa passion pour le reggae et les Clash, pourtant représentants de la scène punk londonienne, incorporent dans leur musique des éléments rythmiques de ce style.

En 1975, le succès du film The Harder They Come permit une percée de cette musique aux Etats-Unis. La bande-originale avait été composée par le chanteur Jimmy Cliff, qui tenait aussi le rôle principal du film.

Aujourd’hui, de nombreux styles musicaux s’inspirent du reggae et poursuivent son métissage à travers le monde.

Pour vous faire une idée de la diversité de cet univers musical, vous pouvez visiter le site http://www.reggae.fr/, un magazine musical dédié à toutes les mouvances du reggae (voir le lien ci-dessous).

Sachez aussi que le Reggae Sun Ska Festival, le plus grand festival français de Reggae s’ouvrira prochainement près de Bordeaux, au coeur du Domaine Universitaire de Pessac – Talence – Gradignan, pour 4 jours de musique (du 31 juillet au 3 août 2014). Plus d’informations sur le site : http://www.reggaesunska.com/fr

Plus d’information :

Visitez le site : http://www.reggae.fr/

Tag : reggae, le reggae, musique reggae, histoire reggae, origines reggae, festival reggae, reggae sun ska, musique jamaicaine, jamaique, bob marley, rasta, rastafarisme , reggae, Jamaïque, genre musical, religion, étymologie, Bob Marley, esclaves, Ska, métissage, années 1960, Rolling Stones, guitariste, Keith Richards, hit-parades, Eric Clapton, 1974, 3 août, rasta, philosophie, 1973, clash, punk, Londonienne, Bordeaux, français, Festival, Sun, Magazine, Univers, Jimmy Cliff, Domaine Universitaire de Pessac Talence Gradignan, 31 juillet, 1975, chanteur, ambassadeur, international, Île, soul music, Jazz, américaine, Calypso, musiques traditionnelles, racines, Rocksteady, non-violence, culte rasta, Anglais, argot, Jamaïcain, Éthiopie.

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Gimme the Funk

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Au milieu des années 1960, le funk prend vie depuis ses racines rhythm and blues et soul, les paroles insistant sur la défense des Noirs et les difficultés du ghetto. … L’instrumentation y est dépouillée, le jeu y est débridé et foisonnant, aux croisements du rhythm and blues, de la soul et du jazz.

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Musique Funk, une histoire de carambolage et de révolution …

 

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A l’origine du funk, on trouve James Brown qui depuis le milieu des années 50, chavire l’Amérique de sa soul explosive. En 1965, il enregistre Papa’s got a brand new bag qui, par sa rythmique et sa célébration de la danse, annonce la révolution que confirmera la sortie, en 1967, de son album Cold Sweat et la publication de ses concerts à l’Apollo Theatre de Harlem. 

Oubliés les artifices excessifs de la soul music, place avant tout au rythme, et au tandem basse-batterie pour donner le tempo de la danse!

Les années suivantes, cet héritage sera repris par deux musiciens majeurs : Sly Stone et George Clinton dont les groupes respectifs, Sly and the Family Stone, Parliament ou Funkadelic explorent et développent cette nouvelle esthétique musicale. 

Mais l’émergence du funk doit aussi être relue à l’aune du contexte d’alors, les tensions raciales qui traversent le pays, le bourbier vietnamien, l’essor de la télévision et des émissions à destination de la jeunesse afro-américaine… 

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